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Son Parcours 3 mars 1948, naissance à Rang-du-Fliers (Pas de Calais) 1962, apprentissage au Touquet « au Chalut », puis en 1965, il part dans le sud et arrive en principauté de Monaco à « La Chaumière ». Il enchaîne ensuite du côté de Paris où il passe par de grandes Maisons : Prunier,(à l’époque l’une des plus prestigieuse maison du Pays), Le Pré Catelan, ensuite l’Hermitage à La Baule, avec Christian Willer. En 1972, il arrive au Moulin de Mougins aux côtés de Roger Vergé, comme Chef de partie Garde-Manger. 1974, il entre à la Bonne Auberge d’Antibes de Jo Rostang, 2 macarons, comme Chef de Cuisine. Et c’est également là qu’il rencontre Bruno Cirino (un peu son frère jumeau sur de nombreux points…) qui le suivra au Negresco. 1978, il devient Chef des Cuisines du Chantecler, le restaurant gastronomique de l’hôtel Negresco à Nice, où il sera le premier Chef a être étoilé michelin dans un Palace, il obtiendra 2 étoiles en 2 ans seulement. 1979, il obtient le titre de Meilleur Ouvrier de France Cuisinier. 1982, il est élu meilleur jeune chef de France par le Gault Millau et obtient 19,5 / 20. 1984, il écrit son premier livre « Couleurs, Saveurs et Parfums de ma Cuisine » dans la célèbre collection des Editions Robert Laffont. Puis 1986, il écrit « Toqués de Cuisine » aux éditions L’école des Loisirs. 1988, Les Augier (propriétaires du Negresco) lui refusent une proposition de partenariat dans l’affaire, il quitte alors le Chantecler. Fin 1988, il écrit « La Santé Gourmande » aux éditions Jean-Claude Lattes. 1989, il crée son restaurant au centre de Nice. Dans un vrai théâtre de 3600m², celui de Sacha Guitry, il imagine une salle à la place des spectateurs, la cuisine vitrée à la place de la scène et le rideau qui s’ouvre au moment du service… 1990, il obtiendra 2 étoiles michelin et en 18 mois seulement d’ouverture il fera du « Théâtre » un restaurant réputé dans le monde entier, dont on parle encore aujourd’hui. En 1992 il cède ses parts à Jean Paul Bucher, le PDG du groupe « Flo », et décide de devenir Consultant, en premier lieu à l’ex-Diamant Rose à la Colle sur Loup, puis du groupe Partouche. 1996, il ouvre son restaurant « Jacques Maximin » à Vence, dans sa propre Maison. & récupère biensûr 2 étoiles michelin. Il crée alors vraiment son restaurant à son image. On est chez lui, au milieu des œuvres d’art de ses amis César, Arman, Novaro, etc… Au milieu de ses vieilles photos, de ses souvenirs, sa Porsche avec laquelle il fait de la compétition n’est pas loin, juste à quelques mètres dans le garage, ses chiens juste là, son poulailler, son fumoir, son vivier, et la liberté de faire sa Cuisine où le produit est Roi, où la Saveur de Chaque ingrédient doit être exacerbée. Et tout cela dans la simplicité, sans artifices, mais avec l’âme du Chef dans l’assiette. Il est toujours là, toujours présent dans sa cuisine, du matin au soir, à « mettre les mains dedans », l’œil sur tout, ne laissant rien passer ! Et ça s’entend jusqu’en salle !… Mais à ses côtés, ses cuisiniers apprennent plus que n’importe où ailleurs. Il maîtrise les produits, l’improvisation, la cuisine à l’instinct, sa force : parvenir à faire du Top ! du très haut niveau ! avec très peu de chose et avec des produits simples. Son imagination culinaire inspirée du Produit lui permet de ne jamais s’arrêter, de créer en permanence, c’est pourquoi il change carte et menus tous les jours. 1998, il écrit « Jacques Maximin cuisine les Légumes » avec Martine Jolly, aux éditions Albin Michel. 2002, nouvel ouvrage en librairie, « Les tartes de Maximin » aux éditions Minerva. 2007, il cesse l’activité de restaurateur. Cette même année 2007, il travaille avec Alain Ducasse pour le concours des Meilleurs Ouvriers de France Cuisinier, et met au point les thèmes des finales, instaure de nouvelles règles, où plus aucun passe droit ne sera possible, il ouvre la porte à tous les cuisiniers y compris ceux qui ne font pas partis d’une grande brigade, dans un grand hôtel, et qui ont par conséquent moins de moyens (dans tous les sens du terme) pour préparer leur concours. En un mot il remet tout le monde « d’équerre ».



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